QUAND NEUROSCIENCES ET SPIRITUALITE
NOUS AMENENT A L'ETRE
Aix-en-Provence – vendredi 24 février 2012 à 19h30
Best Western Hôtel le Galice - 7 route de Galice
Par Jean-Luc Roux
Dans cette conférence, Jean-Luc Roux présentera l’approche neuroscientifique
en tant que démarche de connaissance de soi. Cette approche
consiste en une compréhension du fonctionnement de nos quatre cerveaux,
directement lié à nos états d’être (bien-être ou malaise), nos relations aux
autres, notre positionnement en société (Soumission, domination, sociale ou
solitaire), nos personnalités (talents ou compétences). La connaissance de
ces outils peut faciliter l’adaptation au changement dans un monde en crise.
Il vous proposera un voyage passionnant dans nos territoires cérébraux. Il
passera en revue l’apport de chaque cerveau dans nos décisions et la joie
intérieure à laquelle ils peuvent mener lorsque nous restons à leur écoute
Entrée : 10 €
Réservation/information : 04 90 08 98 56 ou neurosciences.jlr@sfr.fr
The world is changing at high speed and high scale. Human should slowdown their social metabolism and use the ongoing mutation of the society to build a sustainable future. One of the the main condition to reach that objective is that human develop their own inner peace and happiness. The blog will give you information, tools and reading to help you on that way.
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Thursday, 26 January 2012
Sunday, 6 September 2009
Oui, il y a une biologie des sentiments
Antonio Damasio
«Oui, il y a une biologie des sentiments»
propos recueillis par Dominique Simonnet, publié le 07/06/2004 - mis à jour le 04/06/2004
Il y a quelque temps encore, on aurait crié à l'hérésie! Une biologie des sentiments? Il était admis que le cœur avait ses raisons à lui, très peu rationnelles, et que les sentiments devaient garder leur part de mystère, loin des préoccupations des scientifiques sérieux… Aujourd'hui, cette étroite pensée cartésienne a du plomb dans l'aile: les chercheurs n'hésitent plus à traquer la tristesse, la joie ou l'amour dans les méandres des cerveaux. Antonio Damasio, directeur du département de neurologie à l'université de l'Iowa, aux Etats-Unis (dernier ouvrage en date: Spinoza avait raison, aux éditions Odile Jacob), est l'un de ces chercheurs audacieux qui tentent de réconcilier le corps et l'esprit. Il l'explique ici: les sentiments sont, eux aussi, les résultats de l'évolution animale. Tenter de comprendre comment nos petits neurones produisent de si belles choses, ou de si vilaines, c'est s'interroger non seulement sur notre nature, mais également sur les fondements mêmes de la culture humaine
«Oui, il y a une biologie des sentiments»
propos recueillis par Dominique Simonnet, publié le 07/06/2004 - mis à jour le 04/06/2004
Il y a quelque temps encore, on aurait crié à l'hérésie! Une biologie des sentiments? Il était admis que le cœur avait ses raisons à lui, très peu rationnelles, et que les sentiments devaient garder leur part de mystère, loin des préoccupations des scientifiques sérieux… Aujourd'hui, cette étroite pensée cartésienne a du plomb dans l'aile: les chercheurs n'hésitent plus à traquer la tristesse, la joie ou l'amour dans les méandres des cerveaux. Antonio Damasio, directeur du département de neurologie à l'université de l'Iowa, aux Etats-Unis (dernier ouvrage en date: Spinoza avait raison, aux éditions Odile Jacob), est l'un de ces chercheurs audacieux qui tentent de réconcilier le corps et l'esprit. Il l'explique ici: les sentiments sont, eux aussi, les résultats de l'évolution animale. Tenter de comprendre comment nos petits neurones produisent de si belles choses, ou de si vilaines, c'est s'interroger non seulement sur notre nature, mais également sur les fondements mêmes de la culture humaine
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Neuro Management du stress à la sérénité

Le stress n'est pas seulement une source de mal être. Il nuit gravement à la créativité des individus. Les neuro-sciences peuvent aider à sortir de ces zones de stress. On pas alors dans une mode d...
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«Oui, il y a une biologie des sentiments»
«Oui, il y a une biologie des sentiments»
Antonio Damasio, directeur du département de neurologie à l'université de l'Iowa, aux Etats-Unis (dernier ouvrage en date: Spinoza avait raison, aux éditions Odile Jacob), est l'un de ces chercheurs audacieux qui tentent de réconcilier le corps et l'esprit. Il l'explique ici: les sentiments sont, eux aussi, les résultats de l'évolution animale. Tenter de comprendre comment nos petits neurones produisent de si belles choses, ou de si vilaines, c'est s'interroger non seulement sur notre nature, mais également sur les fondements mêmes de la culture humaine
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Antonio Damasio, directeur du département de neurologie à l'université de l'Iowa, aux Etats-Unis (dernier ouvrage en date: Spinoza avait raison, aux éditions Odile Jacob), est l'un de ces chercheurs audacieux qui tentent de réconcilier le corps et l'esprit. Il l'explique ici: les sentiments sont, eux aussi, les résultats de l'évolution animale. Tenter de comprendre comment nos petits neurones produisent de si belles choses, ou de si vilaines, c'est s'interroger non seulement sur notre nature, mais également sur les fondements mêmes de la culture humaine
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Saturday, 5 September 2009
Cerveau&Psycho - Actualite - Les gens heureux voient  plus large»
Cerveau&Psycho - Actualite - Les gens heureux voient plus large»
Etre de bonne humeur change la façon dont nous voyons le monde. Notre regard intègre alors une portion plus large de l'environnement, permettant une vision plus globale et plus créative. Cette découverte a été réalisée par des psychologues de l'Université de Toronto, qui ont fait naître chez des sujets des émotions positives (en leur montrant des images joyeuses ou réconfortantes) ou négatives (images d'accidents).
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Etre de bonne humeur change la façon dont nous voyons le monde. Notre regard intègre alors une portion plus large de l'environnement, permettant une vision plus globale et plus créative. Cette découverte a été réalisée par des psychologues de l'Université de Toronto, qui ont fait naître chez des sujets des émotions positives (en leur montrant des images joyeuses ou réconfortantes) ou négatives (images d'accidents).
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Thursday, 3 September 2009
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